Salles de cinéma
-
Version publiée
-
Propositions d'enrichissement
D’abord itinérant puis accueilli dans des brasseries, le cinéma est entré dans ses murs au début du 20e siècle. C’est le temps des pionniers qui sédentarisent une activité foraine.
La première salle, toujours en activité, est l’American Cosmograph ouvert le 18 mars 1908 dans une ancienne chapelle, rue des Carmélites. Rebaptisée Celtic dans les années 1950, Cinématographe depuis 1983, la salle est devenue municipale et associative en 2001.
Société de l'Apollo et des cinémas nantais, bon pour action de 100 francs
Date du document : 22-12-1922
Société de l'Apollo et des cinémas nantais, bon pour action de 100 francs
Date du document : 22-12-1922
L'Apollo, un théâtre, est utilisé pour le cinéma par Salomon Kétorza à partir de 1915 puis, quand celui-ci crée son propre cinéma, par Ferdinand Jean, qui possède trois autres salles à Nantes, ce qui explique la dénomination de la société qu'il fonde en 1921. Sa façade, menacée par un promoteur lors de la reconversion de la salle en logements, est sauvée en 2004 grâce à la mobilisation de l'architecte des Bâtiments de France Alain Tournaire, de l'élu chargé de la Culture Jean-Louis Jossic, et de nombreux anonymes passionnés.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Société de l'Apollo et des cinémas nantais, bon pour action de 100 francs
Date du document : 22-12-1922
L'Apollo, un théâtre, est utilisé pour le cinéma par Salomon Kétorza à partir de 1915 puis, quand celui-ci crée son propre cinéma, par Ferdinand Jean, qui possède trois autres salles à Nantes, ce qui explique la dénomination de la société qu'il fonde en 1921. Sa façade, menacée par un promoteur lors de la reconversion de la salle en logements, est sauvée en 2004 grâce à la mobilisation de l'architecte des Bâtiments de France Alain Tournaire, de l'élu chargé de la Culture Jean-Louis Jossic, et de nombreux anonymes passionnés.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Grandey et Lescouzères ouvrent, également en 1908, le théâtre Apollo avec le cinéma comme attraction. La salle est reprise en 1915 par Salomon Kétorza puis exploitée par Ferdinand Jean, déjà propriétaire ou exploitant des cinémas L’Industrie, Omnia Dobrée, Palace… L’Apollo, cédé en 1976 au circuit UGC, ferme ses portes en novembre 2003, après un large mouvement de soutien qui a au moins permis d’en sauvegarder la façade.
Façade du cinéma l'Olympic
Date du document : 1931
Façade du cinéma l'Olympic
Date du document : 1931
De 1927 à 1970, l'Olympic est « la » salle du Bas-Chantenay. Le film à l'affiche, Le rebelle, du Chilien Adelqui Migliar, est sorti en 1931.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Façade du cinéma l'Olympic
Date du document : 1931
De 1927 à 1970, l'Olympic est « la » salle du Bas-Chantenay. Le film à l'affiche, Le rebelle, du Chilien Adelqui Migliar, est sorti en 1931.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
À deux pas, rue Corneille, le Katorza doit son nom à Salomon Kétorza qui promenait sur les champs de foire « le plus grand cinéma qui voyage ». La salle inaugurée en juin 1920 est détruite en 1943 par les bombardements alliés, reconstruite en 1950, transformée en complexe. Longtemps dirigé par la famille Pineau, le Katorza (six salles) est exploité par la Soredic depuis 1995.
Un divertissement populaire
C’est en transformant son garage que Ferdinand Pineau entre dans cette histoire le 7 octobre 1931, date de l’ouverture de l’Olympia, rue Franklin (fermé en 1995). Ses trois fils poursuivent l’activité en dirigeant cette salle (Claude), le Colisée (Robert de 1957 à 1986), et le Katorza ( Jean-Serge qui reprend aussi le Cinématographe de 1983 à 1992).
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Date du document : Vers 1960
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Date du document : Vers 1960
Le Ranzay est un bel exemple de la floraison de cinémas de quartier qui connaît son apogée vers 1960, avant la généralisation de la télévision.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : SC2306
© coll. Union départementale CGT 44, Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Date du document : Vers 1960
Le Ranzay est un bel exemple de la floraison de cinémas de quartier qui connaît son apogée vers 1960, avant la généralisation de la télévision.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : SC2306
© coll. Union départementale CGT 44, Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
À cette période, qui s’étend des années 1930 aux années 1960 – lorsque la télévision fait massivement son entrée dans les foyers – le cinéma est un divertissement de masse. Voilà pourquoi de nombreuses salles naissent et meurent aussi parfois. Elles sont tenues par des patronages, des particuliers ou des associations : Familia, Excelsior, Batignolles, Ranzay, Union ouvrière…On en compte vingt-cinq après guerre.
Royal-Ciné, billet d'entrée à tarif réduit
Date du document : 1925-1926
Royal-Ciné, billet d'entrée à tarif réduit
Date du document : 1925-1926
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Royal-Ciné, billet d'entrée à tarif réduit
Date du document : 1925-1926
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Parmi ces salles, le Bonne Garde toujours en activité ; le National devenu Moderne avant d’être Concorde, dirigé depuis 1984 par la famille Clochard ; et ces noms aujourd’hui oubliés : le Club, rue du Calvaire, mais aussi trois enseignes, l’Ariel, le Scribe, le Versailles dirigées par Claude Champmont. Citons encore l’Olympic, à Chantenay, créé en 1927, transformé en supérette en 1970, puis en salle de concerts en 1989.
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Date du document : Années 1920
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Date du document : Années 1920
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920. Le film annoncé par les affiches est Le Cercle rouge, de Friedrich Zelnik et Sinclair Hill.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Date du document : Années 1920
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920. Le film annoncé par les affiches est Le Cercle rouge, de Friedrich Zelnik et Sinclair Hill.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
L'ère des multiplexes
À partir des années 1960, les multiplexes apparaissent dans un paysage recomposé : le cinéma est avant tout une affaire de circuits. Gaumont naît place du Commerce en 1963 (douze salles depuis 1995).La firme à la marguerite, associée à Pathé, ouvre en périphérie à Saint-Herblain, le Pathé Atlantis en 1996, tout près de l’UGC Ciné Cité créé la même année (respectivement quatorze et douze écrans). Suivent le Cinéville à Saint-Sébastien-sur-Loire et le cinéma Pôle Sud (Leclerc) à Basse-Goulaine. Ces salles qui ceinturent l’agglomération témoignent d’un nouvel âge de la ville : elles sont contemporaines de l’achèvement du périphérique et jouxtent les hypermarchés.
Mais la numérisation qui permet, peu après leur sortie, de voir les films en privé, sur un écran de télévision ou d’ordinateur, est peut-être en passe de rendre anachroniques les salles de cinéma.
Yves Aumont, Alain-Pierre Daguin
Extrait du Dictionnaire de Nantes
2018
(droits d'auteur réservés)
Anecdote (1/4) : Le créateur du Katorza
Le créateur du cinéma Katorza, connu de tous les Nantais, avait pour nom Salomon Kétorza. Forain d’origine tunisienne, il se déplaçait de ville en ville avec son cinéma ambulant. Ce dernier avait la forme d’une grande baraque en bois, de 27m par 8m, dotée...
Anecdote (2/4) : Des tickets dans les tablettes de chocolat...
En 1908 un certain Mr Brumas requiert au maire de Nantes l’autorisation d’ouvrir un cinéma au n°12 bis de la rue des Carmélites, à l’emplacement de l’actuel Cinématographe. Il effectue sa demande au nom de la Société Chocolat Poulain, marque déjà célèbre...
Anecdote (3/4) : Projection du premier film parlant
L'Apollo était souvent le premier cinéma nantais à présenter les nouveautés du cinéma. Ainsi, en 1929, il projette sur son écran le premier film parlant diffusé dans la ville et en 1936, il diffuse l’un des premiers films en relief, avec un lorgnon vert...
Anecdote (4/4) : le deuxième cinéma
Parmi les pionniers des cinémas nantais, il faut ajouter l'American cinématographe qui fonctionna de 1910 à 1918 au 5 de la rue des Salorges, dans les locaux actuels du Théâtre de Jeanne. Son gérant s'appelait Harrys et son projectionniste Métayer. Il...
Jean-Luc Hervy
Anecdote (1/4) : Le créateur du Katorza
Le créateur du cinéma Katorza, connu de tous les Nantais, avait pour nom Salomon Kétorza. Forain d’origine tunisienne, il se déplaçait de ville en ville avec son cinéma ambulant. Ce dernier avait la forme d’une grande baraque en bois, de 27m par 8m, dotée d’un orgue et d’un moteur puissant pour fournir l’électricité. Le nom « Katorza » serait né d’un jeu de mot entre le nom du propriétaire et le nombre 14, puisque pas moins de quatorze wagons étaient nécessaires pour transporter la structure.Anecdote (2/4) : Des tickets dans les tablettes de chocolat...
En 1908 un certain Mr Brumas requiert au maire de Nantes l’autorisation d’ouvrir un cinéma au n°12 bis de la rue des Carmélites, à l’emplacement de l’actuel Cinématographe. Il effectue sa demande au nom de la Société Chocolat Poulain, marque déjà célèbre à l’époque. Les Nantais pouvaient trouver des tickets de cinéma à moitié prix dans certaines tablettes de chocolat, chose qui n'est pas sans rappeller les fameux tickets de Charlie et la chocolaterie.Anecdote (3/4) : Projection du premier film parlant
L'Apollo était souvent le premier cinéma nantais à présenter les nouveautés du cinéma. Ainsi, en 1929, il projette sur son écran le premier film parlant diffusé dans la ville et en 1936, il diffuse l’un des premiers films en relief, avec un lorgnon vert et un lorgnon rouge, procédé des anaglyphes.Anecdote (4/4) : le deuxième cinéma
Parmi les pionniers des cinémas nantais, il faut ajouter l'American cinématographe qui fonctionna de 1910 à 1918 au 5 de la rue des Salorges, dans les locaux actuels du Théâtre de Jeanne. Son gérant s'appelait Harrys et son projectionniste Métayer. Il a continué à fonctionner tout au long de la Première Guerre mondiale.Témoignage : « Je fréquentais le cinéma le Monfort, près du marché Talensac »
Dans les années 1958-1964, je fréquentais, quasiment tous les jeudis (jour de congé des écoliers), le cinéma le Monfort, près du marché Talensac. Pour 50 francs puis 50 centimes la place, les enfants et les adolescents pouvaient regarder des films principalement dédiés pour eux. Une séance m’a beaucoup marqué : La cage aux rossignols qui est devenu Les Choristes. Si vous ratiez la séance du jeudi, le film était visible à la salle Pipeau à coté de l’église Saint-Similien. Les autres jours de la semaine, le Monfort proposait une programmation classique.Témoignage : « Je fréquentais le cinéma le Monfort, près du marché...
Dans les années 1958-1964, je fréquentais, quasiment tous les jeudis (jour de congé des écoliers), le cinéma le Monfort, près du marché Talensac. Pour 50 francs puis 50 centimes la place, les enfants et les adolescents pouvaient regarder des films principaleme...
Patrick Tournier
Anecdote (1/4) : Le créateur du Katorza
Le créateur du cinéma Katorza, connu de tous les Nantais, avait pour nom Salomon Kétorza. Forain d’origine tunisienne, il se déplaçait de ville en ville avec son cinéma ambulant. Ce dernier avait la forme d’une grande baraque en bois, de 27m par 8m, dotée d’un orgue et d’un moteur puissant pour fournir l’électricité. Le nom « Katorza » serait né d’un jeu de mot entre le nom du propriétaire et le nombre 14, puisque pas moins de quatorze wagons étaient nécessaires pour transporter la structure.Anecdote (2/4) : Des tickets dans les tablettes de chocolat...
En 1908 un certain Mr Brumas requiert au maire de Nantes l’autorisation d’ouvrir un cinéma au n°12 bis de la rue des Carmélites, à l’emplacement de l’actuel Cinématographe. Il effectue sa demande au nom de la Société Chocolat Poulain, marque déjà célèbre à l’époque. Les Nantais pouvaient trouver des tickets de cinéma à moitié prix dans certaines tablettes de chocolat, chose qui n'est pas sans rappeller les fameux tickets de Charlie et la chocolaterie.Anecdote (3/4) : Projection du premier film parlant
L'Apollo était souvent le premier cinéma nantais à présenter les nouveautés du cinéma. Ainsi, en 1929, il projette sur son écran le premier film parlant diffusé dans la ville et en 1936, il diffuse l’un des premiers films en relief, avec un lorgnon vert et un lorgnon rouge, procédé des anaglyphes.Anecdote (4/4) : le deuxième cinéma
Parmi les pionniers des cinémas nantais, il faut ajouter l'American cinématographe qui fonctionna de 1910 à 1918 au 5 de la rue des Salorges, dans les locaux actuels du Théâtre de Jeanne. Son gérant s'appelait Harrys et son projectionniste Métayer. Il a continué à fonctionner tout au long de la Première Guerre mondiale.Témoignage : « Je fréquentais le cinéma le Monfort, près du marché Talensac »
Dans les années 1958-1964, je fréquentais, quasiment tous les jeudis (jour de congé des écoliers), le cinéma le Monfort, près du marché Talensac. Pour 50 francs puis 50 centimes la place, les enfants et les adolescents pouvaient regarder des films principalement dédiés pour eux. Une séance m’a beaucoup marqué : La cage aux rossignols qui est devenu Les Choristes. Si vous ratiez la séance du jeudi, le film était visible à la salle Pipeau à coté de l’église Saint-Similien. Les autres jours de la semaine, le Monfort proposait une programmation classique.Album Salles de cinéma
Façade de la salle de cinéma Apollo, rue Racine
1920
Le cinéma-théâtre Apollo en 1920.
Cinéma Bonne-garde
28-08-2019
Le cinéma Bonne-Garde est situé au°20 de la rue Frère Louis, dans le quartier Nantes Sud. Créé en 1927,...
Façade de la salle de cinéma Le Colisée, rue Scribe
Le Colisée, cinéma situé au n°32 de la rue Scribe, ouvre en décembre 1957. Sa façade, monumentale, fait...
Façade de la salle de cinéma Le Moderne, à l'angle de la rue de la Convention et du boulevard de l'Egalité
fin des années 1930
L'ancienne salle de cinéma Le Moderne située dans le quartier Dervallières-Zola, aujourd'hui Le Concorde.
Façade de la salle de cinéma Le Concorde
22-05-2013
Magasin Decré
vers 1935
Le magasin construit en 1931 par Henri Sauvage, photographié avant les bombardements de 1943.
Rue de la Marne et le magasin Decré
sans date
Travaux devant la salle de cinéma Le Jeanne d'Arc
18-08-1949
Construction de la chaussée. En arrière plan, le cinéma Le Jeanne d’Arc sur le quai de Versailles.
Programme du Cinéma Kétorza
31-08-1912
Façade de la salle de cinéma Le Katorza
1933
Cinéma Le Katorza lors de sa réouverture
06-1951
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Vers 1960
Le Ranzay est un bel exemple de la floraison de cinémas de quartier qui connaît son apogée vers 1960,...
Entrée du Cinématographe, rue des Carmélites
30-05-2015
Grand Cinéma Lamoricière
avant 1929
Le Grand cinéma Lamoricière ouvert le 7 décembre 1921 à l'angle de la place René-Bouhier et des rues...
Salle de cinéma Le Majestic
années 1930
Le Majestic Cinéma à l'angle de la place René-Bouhier et des rues Contantine et Dobrée.
Place René-Bouhier
22-11-2015
Une résidence et une enseigne bancaire ont remplacé l'ancien cinéma Le Majestic.
Cinéma Olympia détruit par bombardements
09-1943
Rue Franklin.
Façade du cinéma l'Olympic
1931
De 1927 à 1970, l'Olympic est « la » salle du Bas-Chantenay. Le film à l'affiche, Le rebelle,...
Façade de La Fabrique Bellevue-Chantenay
13-10-2018
La Fabrique Bellevue-Chantenay, ancien cinéma Olympic et Majestic.
Façade d'entrée de l'ancien cinéma Le Pax, rue du Bouillon
18-11-2010
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Années 1920
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920. Le film annoncé par les...
Ancien observatoire astronomique
03-08-2013
Ancien observatoire de la Marine, depuis la rue de Flandres-Dunkerque, c'est également l'ancien emplacement...
Salle Bretagne, rue Villebois-Mareuil
17-09-2015
Ancienne salle de cinéma Le Variétés
13-12-1960
Le Variétés, Rue Paul-Bellamy, rasé en 1971.
Café et salle de cinéma Le Modern, boulevard de l'Egalité
sans date
Cinéma Gaumont
26-05-1959
La place en 1959, au fond le nouvel immeuble accueillant le cinéma Gaumont.
Cinéma Gaumont, place du Commerce
28-08-2019
Le cinéma Gaumont est construit en 1963 au n°12 place du Commerce, par l’architecte Mr Peynet. Il est...
Façade de la salle de cinéma Apollo, rue Racine
Date du document : 1920
Le cinéma-théâtre Apollo en 1920.
Auteur(s) : Chapeau, François (éditeur)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : CP014/99
© Ville de Nantes - Bibliothèque municipale
Lieu de conservation : Bibliothèque municipale de Nantes
Façade de la salle de cinéma Apollo, rue Racine
Date du document : 1920
Le cinéma-théâtre Apollo en 1920.
Auteur(s) : Chapeau, François (éditeur)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : CP014/99
© Ville de Nantes - Bibliothèque municipale
Lieu de conservation : Bibliothèque municipale de Nantes
Cinéma Bonne-garde
Date du document : 28-08-2019
Le cinéma Bonne-Garde est situé au°20 de la rue Frère Louis, dans le quartier Nantes Sud. Créé en 1927, par le cercle Notre-Dame de Bonne-Garde c’est un cinéma paroissial. Il est aujourd'hui géré par l’Association Sportive et Culturelle Bonne-Garde. Il est constitué d’une salle unique de 341 places. Le Bonne-Garde possède le label Art & Essai depuis 1983. Rénové en 1990, c’est l’un des quelques cinémas de quartiers toujours en activité à Nantes.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Lieu de conservation : Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Cinéma Bonne-garde
Date du document : 28-08-2019
Le cinéma Bonne-Garde est situé au°20 de la rue Frère Louis, dans le quartier Nantes Sud. Créé en 1927, par le cercle Notre-Dame de Bonne-Garde c’est un cinéma paroissial. Il est aujourd'hui géré par l’Association Sportive et Culturelle Bonne-Garde. Il est constitué d’une salle unique de 341 places. Le Bonne-Garde possède le label Art & Essai depuis 1983. Rénové en 1990, c’est l’un des quelques cinémas de quartiers toujours en activité à Nantes.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Lieu de conservation : Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Façade de la salle de cinéma Le Colisée, rue Scribe
Le Colisée, cinéma situé au n°32 de la rue Scribe, ouvre en décembre 1957. Sa façade, monumentale, fait 15 m en hauteur et en largeur. La salle unique de 1100 places est redivisée en trois en 1946. Le cinéma ferme en 1988. Il devient ensuite un café, un restaurant, puis une discothèque. Aujourd’hui, la façade vitrée, datant de la fin des années 1950, est toujours visible.
Auteur(s) : Célérier, Philippe (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Philippe Célérier
Façade de la salle de cinéma Le Colisée, rue Scribe
Le Colisée, cinéma situé au n°32 de la rue Scribe, ouvre en décembre 1957. Sa façade, monumentale, fait 15 m en hauteur et en largeur. La salle unique de 1100 places est redivisée en trois en 1946. Le cinéma ferme en 1988. Il devient ensuite un café, un restaurant, puis une discothèque. Aujourd’hui, la façade vitrée, datant de la fin des années 1950, est toujours visible.
Auteur(s) : Célérier, Philippe (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Philippe Célérier
Façade de la salle de cinéma Le Moderne, à l'angle de la rue de la Convention et du boulevard de l'Egalité
Date du document : fin des années 1930
L'ancienne salle de cinéma Le Moderne située dans le quartier Dervallières-Zola, aujourd'hui Le Concorde.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 9Fi_Num_5
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade de la salle de cinéma Le Moderne, à l'angle de la rue de la Convention et du boulevard de l'Egalité
Date du document : fin des années 1930
L'ancienne salle de cinéma Le Moderne située dans le quartier Dervallières-Zola, aujourd'hui Le Concorde.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 9Fi_Num_5
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade de la salle de cinéma Le Concorde
Date du document : 22-05-2013
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi60
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade de la salle de cinéma Le Concorde
Date du document : 22-05-2013
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi60
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Magasin Decré
Date du document : vers 1935
Le magasin construit en 1931 par Henri Sauvage, photographié avant les bombardements de 1943.
Auteur(s) : Sauvage, Henri (architecture) ; Friésé, Charles (architecture)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 52Z25
© Fonds Combe-Friésé, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Magasin Decré
Date du document : vers 1935
Le magasin construit en 1931 par Henri Sauvage, photographié avant les bombardements de 1943.
Auteur(s) : Sauvage, Henri (architecture) ; Friésé, Charles (architecture)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 52Z25
© Fonds Combe-Friésé, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Rue de la Marne et le magasin Decré
Date du document : sans date
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 17Fi232
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Rue de la Marne et le magasin Decré
Date du document : sans date
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 17Fi232
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Travaux devant la salle de cinéma Le Jeanne d'Arc
Date du document : 18-08-1949
Construction de la chaussée. En arrière plan, le cinéma Le Jeanne d’Arc sur le quai de Versailles.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 28Fi3980
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Travaux devant la salle de cinéma Le Jeanne d'Arc
Date du document : 18-08-1949
Construction de la chaussée. En arrière plan, le cinéma Le Jeanne d’Arc sur le quai de Versailles.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 28Fi3980
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Programme du Cinéma Kétorza
Date du document : 31-08-1912
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 185Z1
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Programme du Cinéma Kétorza
Date du document : 31-08-1912
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 185Z1
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade de la salle de cinéma Le Katorza
Date du document : 1933
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
© Le Katorza, Nantes
Façade de la salle de cinéma Le Katorza
Date du document : 1933
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
© Le Katorza, Nantes
Cinéma Le Katorza lors de sa réouverture
Date du document : 06-1951
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
© Le Katorza, Nantes
Cinéma Le Katorza lors de sa réouverture
Date du document : 06-1951
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
© Le Katorza, Nantes
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Date du document : Vers 1960
Le Ranzay est un bel exemple de la floraison de cinémas de quartier qui connaît son apogée vers 1960, avant la généralisation de la télévision.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : SC2306
© coll. Union départementale CGT 44, Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Salle de cinéma de la cité des Batignolles, Le Ranzay
Date du document : Vers 1960
Le Ranzay est un bel exemple de la floraison de cinémas de quartier qui connaît son apogée vers 1960, avant la généralisation de la télévision.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : SC2306
© coll. Union départementale CGT 44, Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Entrée du Cinématographe, rue des Carmélites
Date du document : 30-05-2015
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction interdite
© Le Cinématographe
Entrée du Cinématographe, rue des Carmélites
Date du document : 30-05-2015
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction interdite
© Le Cinématographe
Grand Cinéma Lamoricière
Date du document : avant 1929
Le Grand cinéma Lamoricière ouvert le 7 décembre 1921 à l'angle de la place René-Bouhier et des rues Constantine et Dobrée, devient Le Majestic en 1929. Le cinéma compte alors plus de neuf cent cinquante places.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 123Z709
© Fonds Jean-Claude Potet, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Grand Cinéma Lamoricière
Date du document : avant 1929
Le Grand cinéma Lamoricière ouvert le 7 décembre 1921 à l'angle de la place René-Bouhier et des rues Constantine et Dobrée, devient Le Majestic en 1929. Le cinéma compte alors plus de neuf cent cinquante places.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 123Z709
© Fonds Jean-Claude Potet, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Salle de cinéma Le Majestic
Date du document : années 1930
Le Majestic Cinéma à l'angle de la place René-Bouhier et des rues Contantine et Dobrée.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 9Fi_num_27
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Salle de cinéma Le Majestic
Date du document : années 1930
Le Majestic Cinéma à l'angle de la place René-Bouhier et des rues Contantine et Dobrée.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 9Fi_num_27
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Place René-Bouhier
Date du document : 22-11-2015
Une résidence et une enseigne bancaire ont remplacé l'ancien cinéma Le Majestic.
Auteur(s) : Jean, Patrick (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi765
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Place René-Bouhier
Date du document : 22-11-2015
Une résidence et une enseigne bancaire ont remplacé l'ancien cinéma Le Majestic.
Auteur(s) : Jean, Patrick (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi765
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Olympia détruit par bombardements
Date du document : 09-1943
Rue Franklin.
Auteur(s) : Studio d'Art (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
Cote de conservation : 22Fi75
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Olympia détruit par bombardements
Date du document : 09-1943
Rue Franklin.
Auteur(s) : Studio d'Art (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction soumise à autorisation
Cote de conservation : 22Fi75
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade du cinéma l'Olympic
Date du document : 1931
De 1927 à 1970, l'Olympic est « la » salle du Bas-Chantenay. Le film à l'affiche, Le rebelle, du Chilien Adelqui Migliar, est sorti en 1931.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Façade du cinéma l'Olympic
Date du document : 1931
De 1927 à 1970, l'Olympic est « la » salle du Bas-Chantenay. Le film à l'affiche, Le rebelle, du Chilien Adelqui Migliar, est sorti en 1931.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Centre d'histoire du travail
Lieu de conservation : Centre d'histoire du travail
Façade de La Fabrique Bellevue-Chantenay
Date du document : 13-10-2018
La Fabrique Bellevue-Chantenay, ancien cinéma Olympic et Majestic.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Lieu de conservation : Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Façade de La Fabrique Bellevue-Chantenay
Date du document : 13-10-2018
La Fabrique Bellevue-Chantenay, ancien cinéma Olympic et Majestic.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Lieu de conservation : Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Façade d'entrée de l'ancien cinéma Le Pax, rue du Bouillon
Date du document : 18-11-2010
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi39
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade d'entrée de l'ancien cinéma Le Pax, rue du Bouillon
Date du document : 18-11-2010
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 46Fi39
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Date du document : Années 1920
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920. Le film annoncé par les affiches est Le Cercle rouge, de Friedrich Zelnik et Sinclair Hill.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Façade du Royal-Ciné, rue de Flandre
Date du document : Années 1920
Le Royal-Ciné, une des multiples salles du centre-ville dans les années 1920. Le film annoncé par les affiches est Le Cercle rouge, de Friedrich Zelnik et Sinclair Hill.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© coll. Jean-Claude Lemoine, Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Ancien observatoire astronomique
Date du document : 03-08-2013
Ancien observatoire de la Marine, depuis la rue de Flandres-Dunkerque, c'est également l'ancien emplacement du cinéma Royal Ciné.
Auteur(s) : Brosselin, Eric (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction interdite
© Eric Brosselin
Ancien observatoire astronomique
Date du document : 03-08-2013
Ancien observatoire de la Marine, depuis la rue de Flandres-Dunkerque, c'est également l'ancien emplacement du cinéma Royal Ciné.
Auteur(s) : Brosselin, Eric (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction interdite
© Eric Brosselin
Salle Bretagne, rue Villebois-Mareuil
Date du document : 17-09-2015
Auteur(s) : Ménoret, Stéphan (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Ville de Nantes
Lieu de conservation : Ville de Nantes
Salle Bretagne, rue Villebois-Mareuil
Date du document : 17-09-2015
Auteur(s) : Ménoret, Stéphan (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Ville de Nantes
Lieu de conservation : Ville de Nantes
Ancienne salle de cinéma Le Variétés
Date du document : 13-12-1960
Le Variétés, Rue Paul-Bellamy, rasé en 1971.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25Fi1736
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Ancienne salle de cinéma Le Variétés
Date du document : 13-12-1960
Le Variétés, Rue Paul-Bellamy, rasé en 1971.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25Fi1736
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Café et salle de cinéma Le Modern, boulevard de l'Egalité
Date du document : sans date
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25Fi1729
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Café et salle de cinéma Le Modern, boulevard de l'Egalité
Date du document : sans date
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25Fi1729
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Gaumont
Date du document : 26-05-1959
La place en 1959, au fond le nouvel immeuble accueillant le cinéma Gaumont.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25fi92
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Gaumont
Date du document : 26-05-1959
La place en 1959, au fond le nouvel immeuble accueillant le cinéma Gaumont.
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
Cote de conservation : 25fi92
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Gaumont, place du Commerce
Date du document : 28-08-2019
Le cinéma Gaumont est construit en 1963 au n°12 place du Commerce, par l’architecte Mr Peynet. Il est situé à l’emplacement des bureaux du Phare de la Loire, ancêtre du Ouest France, qui ont été détruits en 1943. Au départ ce cinéma est composé d’une unique salle de 1100 places. Porté par un succès grandissant, le cinéma devient un complexe de six salles en 1977, puis de douze salles en 1995. Il possède aujourd'hui un écran de 20 m, le plus grand de la ville.
Auteur(s) : Jean, Patrick (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
Cinéma Gaumont, place du Commerce
Date du document : 28-08-2019
Le cinéma Gaumont est construit en 1963 au n°12 place du Commerce, par l’architecte Mr Peynet. Il est situé à l’emplacement des bureaux du Phare de la Loire, ancêtre du Ouest France, qui ont été détruits en 1943. Au départ ce cinéma est composé d’une unique salle de 1100 places. Porté par un succès grandissant, le cinéma devient un complexe de six salles en 1977, puis de douze salles en 1995. Il possède aujourd'hui un écran de 20 m, le plus grand de la ville.
Auteur(s) : Jean, Patrick (cliché)
Droit de diffusion : Communication libre, reproduction libre
© Archives de Nantes
Lieu de conservation : Archives de Nantes
En savoir plus
Bibliographie
Aumont Yves, Daguin Alain-Pierre, Les lumières de la ville : Nantes et le cinéma, 2e éd. rev. et augm., L'Atalante, Nantes, 1995
Monteil Frédéric, La Belle Époque du cinéma et des fêtes foraines à Nantes (1896-1914), Ouest éd., Nantes, 1996
« Salles de spectacle et cinémas nantais », Annales de Nantes et du pays nantais, n°300, 2006
Pages liées
Tags
Contributeurs
Rédaction d'article :
Yves Aumont, Alain-Pierre Daguin
Anecdote :
Yves Aumont, Alain-Pierre Daguin, Jean-Luc Hervy
Témoignage :
Patrick Tournier
Vous aimerez aussi
Ancien domaine et château des Dervallières
Architecture et urbanismeAvant la construction de la cité d'habitat social, les Dervallières était une seigneurie établie dans l'ancienne commune de Chantenay. Situé au centre de l'ancien domaine, le château...
Contributeur(s) :Nathalie Barré , Solange Riou , Yvonne Baudriller ...
Date de publication : 01/03/2019
6557
Presse
Société et cultureNantes est la seule grande ville de France où le quotidien le plus vendu n'a pas son siège puisque Ouest-France est un journal rennais. Cette singularité renvoie à la distance longtemps...
Contributeur(s) :Thierry Guidet
Date de publication : 28/11/2023
38
Le dessous des sols : fouille archéologique de l'église Saint-Jacques -...
Architecture et urbanismeEn 2010, la découverte fortuite de deux sépultures lors du creusement d’une tranchée d’évacuation d’eau pluviale dans le jardin de l’église Saint-Jacques de Pirmil a entraîné l’intervention...
Contributeur(s) :Mathieu Laurens-Berge
Date de publication : 15/10/2020
1519