Les années 1970 ont vu naître un mouvement original porté par les milieux d'éducation populaire : les Terrains d'Aventure. Plus que de simples lieux dédiés aux enfants, ce sont aussi de nouvelles formes d'apprentissage qui y sont alors expérimentées. Bellevue a ainsi connu deux Terrains d'Aventure.
Le premier Terrain d'Aventure (1974-1975)
A la fin des années 1960, lorsque les immeubles de la ZUP de Bellevue sortent de terre, les équipements peinent à suivre. Les familles et leurs enfants s'installent dans un quartier neuf, loin du centre. La plupart des rues ne sont pas encore bitumées, les commerces sont encore rares. Un véritable "Far West". Aussi lorsqu'il s'agit d'occuper les enfants, les lieux viennent à manquer.
Les anciens vous en parleront : enfants et adolescents, leur principal terrain de jeu était le pied de leur immeuble. Ceux des Lauriers par exemple jouaient dans le sous-sol du parking et dans les flaques d'eau en surface. Bref des jeux improvisés qui ont laissé bien des souvenirs! Quant aux structures de loisirs, elles restent insuffisantes en nombre et en capacités. Au début des années 1960, une parcelle de l'ancien Bois de la Musse avait été reconvertie en centre de loisirs provisoire à l'aide d'algécos. Un peu plus tard, un centre de loisirs géré par l'Association des Centres Aérés de la Ville de Nantes est installé dans une ancienne propriété bourgeoise, rue Firmin Colas : la future maison de l'Enfance. Quant à la Maison des Jeunes rue Jamet, elle est construite en 1970.
C'est dans ce contexte que va être créé le premier Terrain d'Aventure. En 1974, les habitants et riverains de la rue de l'Adour s'opposent à la construction d'une tour de 110 logements. La Société d'Aménagement de Loire-Atlantique a déjà préparé la parcelle en creusant le sol en vue des fondations. Le "trou" cristallise la contestation. Un collectif regroupant habitants et différents mouvements de gauche s'organise pour porter ses revendications auprès des pouvoirs publics. La municipalité finit par abandonner le projet et accepte d'installer sur le site le premier Terrain d'Aventure.
Le Terrain d'Aventure initié par des éducateurs des Centres d'Action Educative (C.A.E.) et des animateurs de l'Union Française des Centres de Vacances (U.F.C.V.) est alors une expérience novatrice. Le mouvement n'est pas propre à Nantes, il a une dimension internationale et nationale. Né en Angleterre, il s'est exporté d'abord en Île de France où des expériences pionnières ont eu lieu à Paris, rue Saint-Paul.
Lieu de conservation : Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, Ville de Nantes / Nantes Métropole
Les Terrains d'Aventure reposent sur un double principe : l'autonomie et l'autogestion. Les enfants sont libres de leurs mouvements et autonomes dans leur choix. La présence de l'adulte vise principalement à faciliter la mise en oeuvre des projets et à réguler les conflits. "Les animateurs doivent plus agir comme des conseillers que comme des directeurs, c'est-à-dire se mettre à l'écoute des enfants, les entraîner au jeu sans leur apprendre à jouer, prévenir les incidents sans les surveiller systématiquement" (Fiche technique d'un Terrain d'Aventure - Ministère de la Jeunesse et des Sports- vers 1977). Les enfants inventent leur jeux, ils construisent des cabanes avec des matériaux de récupération, ils font des feux, ils s'initient à l'élevage des animaux, etc. C'est un terrain de liberté et de transgression.
Mais bientôt, les parents et riverains s'inquiètent et beaucoup considèrent le lieu comme un terrain vague aux allures de bidonville. En février 1975, la municipalité nantaise donne raison aux habitants qui préconisent de créer un jardin public conventionnel. L'aménagement du square des Rossignols aura lieu en 1976.
Le deuxième Terrain d'Aventure (1977- années 1980)
En même temps qu'elle décide de créer un square rue de l'Adour, la municipalité nantaise approuve le transfert du Terrain d'Aventure rue de l'Etang, sur une parcelle anciennement occupée par le foyer nord-africain, à côté de la Maison de l'Enfance. Le nom est resté, la META (Maison de l'Enfance et Terrain d'Aventure).
Les travaux d'aménagement votés en 1976 sont sommaires : une clôture, la construction d'un abri avec l'installation de sanitaires. Les travaux tardent à être réalisés. Le deuxième Terrain d'Aventure ouvre finalement à l'été 1977. Les principes de gestion et d'éducation y sont les mêmes qu'auparavant, si ce n'est que les éducateurs travaillent en relation étroite avec la structure voisine de la Maison de l'Enfance.
Dans les années qui suivent, malgré les réticences de certains riverains, le Terrain d'Aventure perdure et intègre le dispositif d'accueil des enfants du quartier. Ainsi sa gestion est reprise en 1979 par la Fédération des Centres de Loisirs Educatifs de la Ville de Nantes (actuellement l'Accoord). Cependant le Terrain d'Aventure reste au début des années 1980 une structure indépendante qui revendique l'originalité de son projet éducatif, en participant activement à la formation des éducateurs et des jeunes animateurs à l'échelle locale et régionale, notamment au sein de l'Association des Terrains d'Aventure de l'Ouest et de la Fédération Nationale des Terrains d'Aventure.
Aujourd'hui le Terrain d'Aventure a laissé place à un parc public, le parc de la META réaménagé en 2018-2019 par le SEVE.
Irène Gillardot
Direction du patrimoine et de l'archéologie, Ville de Nantes/Nantes Métropole
2020
Anecdote : Une lettre de soutien
Lettre de la Fédération anarchiste à Monsieur le Maire 15 octobre 1974 "Non, ce dernier espace libre, au milieu de la ZUP compotant des dizaines de milliers d'habitants, doit à la fin de l'année disparaître pour faire place à 110 appartements construits...
Anecdote : Les habitants de la rue du Drac revendiquent
Lettre du groupe habitants/animateur rue du Drac à la Direction Départementale de Jeunesse et Sports 28 mai 1977 "Devant les lenteurs administratives, les habitants de la rue du Drac, voisins du Terrain d'Aventure et déjà bien organisés, écrivent pour...
Anecdote : Une lettre de soutien
Lettre de la Fédération anarchiste à Monsieur le Maire 15 octobre 1974 "Non, ce dernier espace libre, au milieu de la ZUP compotant des dizaines de milliers d'habitants, doit à la fin de l'année disparaître pour faire place à 110 appartements construits par la SCIC ( le terrain appartenant à la SELA). Nous ne pouvons que nous insurger contre ce projet écoeurant et soutenir la population concernée. Les élus municipaux seraient les premiers coupables si le projet aboutissait. [...] Vous avez le pouvoir de réserver ce terrain par expropriation en le déclarant d'utilité publique. A l'heure où les pays scandinaves, la Grande Bretagne, l'Allemagne, des villes comme Paris, Laval, Dinan, Angers soutiennent la création de "Terrains pour l'Aventure", la ville de Nantes se montrerait-elle nettement réactionnaire? Des associations d'éducation populaire, les travailleurs sociaux, des clubs de prévention travaillant sur la ZUP depuis des années, peuvent témoigner de l'importance capitale de ces terrains pour permettre aux jeunes de s'exprimer, de s'organiser et ainsi d'éviter le vandalisme et la délinquance. "
Archives de Nantes
Anecdote : Les habitants de la rue du Drac revendiquent
Lettre du groupe habitants/animateur rue du Drac à la Direction Départementale de Jeunesse et Sports 28 mai 1977 "Devant les lenteurs administratives, les habitants de la rue du Drac, voisins du Terrain d'Aventure et déjà bien organisés, écrivent pour une ouverture du "deuxième" Terrain d'Aventure de Bellevue à l'été 1977 "Les vacances approchent ; dans nos rues grouillantes d'enfants, combien ne vont pas partir? Il a été décidé la mise en place d'un terrain pour l'aventure situé rue de l'Etang et rue des Alouettes. Devant la lenteur des travaux, les parents des enfants qui vont profiter de ce espace s'inquiètent : quand va-t-on installer els sanitaires et finir de le mettre en état? Nous avons rencontré dernièrement l'animateur qui nous a fait part de son inquiétude. L'expérience nous ayant appris que quand il s'agit des enfants des classes populaires cela traîne toujours, dernièrement nous avons reçu les représentants de la municipalité dans notre local de la rue du Drac. Le maire adjoint et un conseiller étaient présents. Ils nous ont assuré qu'au niveau de la municipalité, tout a été fait. Donc à la Jeunesse et les Sports de faire le reste rapidement. Nous voilà début juin, cela presse. Dans les annexes du CES qui se trouvent sur le même terrain, il a fallu deux ans pour que les enfants aient des sanitaires. Ainsi, nous ne voulons pas que cela se reproduise. En espérant une intervention rapide de votre part. Recevez nos sincères salutations."
Archives départementales de Loire-Atlantique
Témoignage (1/3) : Une expérience innovante
J'ai travaillé à la fois au Terrain d'Aventure et à la Maison de l'Enfance dans les années 1975. Je m'intéressais aux nouvelles pédagogies. Je lisais beaucoup, j’étais fan de Libres enfants de Summerhill. Marie-José Chombart De Lauwe, sociologue, avait publié Enfant en jeux. ça parlait des terrains d’aventure en France, à Paris, dans le quartier de Saint-Paul...mais aussi des playgrounds autour de Londres dans les quartiers populaires. Ces ouvrages proposaient une autre pédagogie, une autre approche de l’enfant et de l’espace, etc. On avait l’impression à l'époque de participer à quelque chose d’important, quelque chose de nouveau en termes pédagogiques. Voilà, c’est ce vers quoi j’avais envie d’aller et de comprendre. Et puis, en plus dans les cités, les enfants manquaient de lieux pour jouer. Les terrains d’aventure étaient des lieux dédiés à cela, où l’enfant transforme lui-même son espace.
Propos recueillis le 27 février 2020 par Irène Gillardot auprès de Claudine Laurent ancienne animatrice du Terrain d'Aventure fin des années 1970
Témoignage (2/3) : La récup'
"On allait une fois par semaine avec un vieux Citroën, chercher de la croûte de bois sur le port au bois, la croûte de bois c’est-à-dire cette écorce assez épaisse provenant des grumes ; on allait glaner des bouts de moquette dans les magasins Saint-Cloud et compagnie, on achetait des clous jdirais comme ça [ elle me montre un clou d’une taille de 10 cm au moins] , l’outillage, scie marteau etc et donc, les enfants pouvaient se construire des cabanes. Et moi de tout le temps où j’ai travaillé là, je ne me rappelle pas qu’un môme se soit blessé […] Ils manipulaient des marteaux normaux, ce n'étaient pas des marteaux pour enfants. Et donc on récupérait aussi du plastique, de la tôle, du papier peint, et les enfants, les "ados" construisaient eux-mêmes des cabanes à deux étages. Ils posaient la moquette. Une fois la cabane finie, ils faisaient venir leur copine pour fleurter dans leurs petits étages (rires). Et puis les cabanes avaient le droit d’être démolies, quelqu’un la démolissait , ou bien on l'agrandissait, ou bien on en reconstruisait une autre.
Propos recueillis le 27 février 2020 par Irène Gillardot auprès de Claudine Laurent ancienne animatrice du Terrain d'Aventure fin des années 1970
Témoignage (3/3) : Une pateaugeoire provisoire en été
"La pataugeoire du Terrain d’Aventure était faite, tous les étés, avec des poteaux télégraphiques en bois posés sur deux ou trois hauteurs. A l’intérieur, on mettait une énorme bâche bleue bricolée, puis on remplissait d’eau. Les enfants nous aidaient à remplir [...] On laissait l’eau toute la journée, je crois qu’on devait mettre des pastilles pour désinfecter un peu… mais bon c’était "basique" de chez "basique" ! A l’époque je trouvais ça vraiment génial, maintenant je rigole un peu" (rires)
Propos recueillis le 27 février 2020 par Irène Gillardot auprès de Claudine Laurent ancienne animatrice du Terrain d'Aventure fin des années 1970
Témoignage (1/3) : Une expérience innovante
J'ai travaillé à la fois au Terrain d'Aventure et à la Maison de l'Enfance dans les années 1975. Je m'intéressais aux nouvelles pédagogies. Je lisais beaucoup, j’étais fan de Libres enfants de Summerhill. Marie-José Chombart De Lauwe, sociologue, avait...
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"On allait une fois par semaine avec un vieux Citroën, chercher de la croûte de bois sur le port au bois, la croûte de bois c’est-à-dire cette écorce assez épaisse provenant des grumes ; on allait glaner des bouts de moquette dans les magasins Saint-Cloud...
Témoignage (3/3) : Une pateaugeoire provisoire en été
"La pataugeoire du Terrain d’Aventure était faite, tous les étés, avec des poteaux télégraphiques en bois posés sur deux ou trois hauteurs. A l’intérieur, on mettait une énorme bâche bleue bricolée, puis on remplissait d’eau. Les enfants nous aidaient...
Anecdote : Une lettre de soutien
Lettre de la Fédération anarchiste à Monsieur le Maire 15 octobre 1974 "Non, ce dernier espace libre, au milieu de la ZUP compotant des dizaines de milliers d'habitants, doit à la fin de l'année disparaître pour faire place à 110 appartements construits par la SCIC ( le terrain appartenant à la SELA). Nous ne pouvons que nous insurger contre ce projet écoeurant et soutenir la population concernée. Les élus municipaux seraient les premiers coupables si le projet aboutissait. [...] Vous avez le pouvoir de réserver ce terrain par expropriation en le déclarant d'utilité publique. A l'heure où les pays scandinaves, la Grande Bretagne, l'Allemagne, des villes comme Paris, Laval, Dinan, Angers soutiennent la création de "Terrains pour l'Aventure", la ville de Nantes se montrerait-elle nettement réactionnaire? Des associations d'éducation populaire, les travailleurs sociaux, des clubs de prévention travaillant sur la ZUP depuis des années, peuvent témoigner de l'importance capitale de ces terrains pour permettre aux jeunes de s'exprimer, de s'organiser et ainsi d'éviter le vandalisme et la délinquance. "
Archives de Nantes
Anecdote : Les habitants de la rue du Drac revendiquent
Lettre du groupe habitants/animateur rue du Drac à la Direction Départementale de Jeunesse et Sports 28 mai 1977 "Devant les lenteurs administratives, les habitants de la rue du Drac, voisins du Terrain d'Aventure et déjà bien organisés, écrivent pour une ouverture du "deuxième" Terrain d'Aventure de Bellevue à l'été 1977 "Les vacances approchent ; dans nos rues grouillantes d'enfants, combien ne vont pas partir? Il a été décidé la mise en place d'un terrain pour l'aventure situé rue de l'Etang et rue des Alouettes. Devant la lenteur des travaux, les parents des enfants qui vont profiter de ce espace s'inquiètent : quand va-t-on installer els sanitaires et finir de le mettre en état? Nous avons rencontré dernièrement l'animateur qui nous a fait part de son inquiétude. L'expérience nous ayant appris que quand il s'agit des enfants des classes populaires cela traîne toujours, dernièrement nous avons reçu les représentants de la municipalité dans notre local de la rue du Drac. Le maire adjoint et un conseiller étaient présents. Ils nous ont assuré qu'au niveau de la municipalité, tout a été fait. Donc à la Jeunesse et les Sports de faire le reste rapidement. Nous voilà début juin, cela presse. Dans les annexes du CES qui se trouvent sur le même terrain, il a fallu deux ans pour que les enfants aient des sanitaires. Ainsi, nous ne voulons pas que cela se reproduise. En espérant une intervention rapide de votre part. Recevez nos sincères salutations."
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Témoignage (1/3) : Une expérience innovante
J'ai travaillé à la fois au Terrain d'Aventure et à la Maison de l'Enfance dans les années 1975. Je m'intéressais aux nouvelles pédagogies. Je lisais beaucoup, j’étais fan de Libres enfants de Summerhill. Marie-José Chombart De Lauwe, sociologue, avait publié Enfant en jeux. ça parlait des terrains d’aventure en France, à Paris, dans le quartier de Saint-Paul...mais aussi des playgrounds autour de Londres dans les quartiers populaires. Ces ouvrages proposaient une autre pédagogie, une autre approche de l’enfant et de l’espace, etc. On avait l’impression à l'époque de participer à quelque chose d’important, quelque chose de nouveau en termes pédagogiques. Voilà, c’est ce vers quoi j’avais envie d’aller et de comprendre. Et puis, en plus dans les cités, les enfants manquaient de lieux pour jouer. Les terrains d’aventure étaient des lieux dédiés à cela, où l’enfant transforme lui-même son espace.
Propos recueillis le 27 février 2020 par Irène Gillardot auprès de Claudine Laurent ancienne animatrice du Terrain d'Aventure fin des années 1970
Témoignage (2/3) : La récup'
"On allait une fois par semaine avec un vieux Citroën, chercher de la croûte de bois sur le port au bois, la croûte de bois c’est-à-dire cette écorce assez épaisse provenant des grumes ; on allait glaner des bouts de moquette dans les magasins Saint-Cloud et compagnie, on achetait des clous jdirais comme ça [ elle me montre un clou d’une taille de 10 cm au moins] , l’outillage, scie marteau etc et donc, les enfants pouvaient se construire des cabanes. Et moi de tout le temps où j’ai travaillé là, je ne me rappelle pas qu’un môme se soit blessé […] Ils manipulaient des marteaux normaux, ce n'étaient pas des marteaux pour enfants. Et donc on récupérait aussi du plastique, de la tôle, du papier peint, et les enfants, les "ados" construisaient eux-mêmes des cabanes à deux étages. Ils posaient la moquette. Une fois la cabane finie, ils faisaient venir leur copine pour fleurter dans leurs petits étages (rires). Et puis les cabanes avaient le droit d’être démolies, quelqu’un la démolissait , ou bien on l'agrandissait, ou bien on en reconstruisait une autre.
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Témoignage (3/3) : Une pateaugeoire provisoire en été
"La pataugeoire du Terrain d’Aventure était faite, tous les étés, avec des poteaux télégraphiques en bois posés sur deux ou trois hauteurs. A l’intérieur, on mettait une énorme bâche bleue bricolée, puis on remplissait d’eau. Les enfants nous aidaient à remplir [...] On laissait l’eau toute la journée, je crois qu’on devait mettre des pastilles pour désinfecter un peu… mais bon c’était "basique" de chez "basique" ! A l’époque je trouvais ça vraiment génial, maintenant je rigole un peu" (rires)
Propos recueillis le 27 février 2020 par Irène Gillardot auprès de Claudine Laurent ancienne animatrice du Terrain d'Aventure fin des années 1970
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Bibliographie
Pinson Daniel, Voyage au bout de la ville: Histoires, décors et gens de la ZUP. Saint-Sébastien: ACL-Crocus, 1989.
Quelques histoires de la rue du Drac, Arlène, Nantes, 2007
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